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Le café Janot vers 1900 |
En 1850, Nicolas Hatrisse (1803-1884) et sa femme Marguerite Louis (1809-1860) sont cabaretiers à Vandières sans plus de précision concernant la rue, mais il s’agit très probablement de la rue de Pont à Mousson à côté du pont sur le Trey.
En 1876, Eugène Nicolas Pierre (1850-1884) et Jeanne Marguerite Perot (1855-1887) gèrent ensemble le café. Après le décès de son mari, Jeanne Marguerite se remarie avec Louis Henriot (1858- ). Le couple reste à la tête de l’établissement jusqu’en 1890.
En 1891, un nouveau propriétaire est recensé, il s’agit de Edouard Nicolas Lorrain (1854-1916). Avec sa femme Julie Marie Vaillier (1855-1916), ils gardent le commerce environ 5 ans avant d’acheter le café du centre.
En 1896, Claude Janot (1850-1927) ancien employé au chemin de fer et Augustine Mouzon (1853-1932) sa femme sont débitants de boissons.
Ils exercent jusqu’en 1906 mais restent habiter à coté du café
En 1906, c’est leur fils François Janot (1877-1910) et sa femme Joséphine Chery (1878- ) qui prennent la tête du débit de boissons. François Janot est aussi sellier.
En 1911, Joséphine devenue veuve avec deux enfants en bas âge gère seule le café restaurant.
Elle finit par vendre peu avant le début de la guerre à Henri Staub originaire de Nancy.
Elle se remarie en 1922 à Frouard avec Émile Rollin. Elle vends alors le café épicerie qu’elle tient rue de l’hôtel de ville à Frouard.
En 1891, un nouveau propriétaire est recensé, il s’agit de Edouard Nicolas Lorrain (1854-1916). Avec sa femme Julie Marie Vaillier (1855-1916), ils gardent le commerce environ 5 ans avant d’acheter le café du centre.
En 1896, Claude Janot (1850-1927) ancien employé au chemin de fer et Augustine Mouzon (1853-1932) sa femme sont débitants de boissons.
Ils exercent jusqu’en 1906 mais restent habiter à coté du café
En 1906, c’est leur fils François Janot (1877-1910) et sa femme Joséphine Chery (1878- ) qui prennent la tête du débit de boissons. François Janot est aussi sellier.
En 1911, Joséphine devenue veuve avec deux enfants en bas âge gère seule le café restaurant.
Elle finit par vendre peu avant le début de la guerre à Henri Staub originaire de Nancy.
Elle se remarie en 1922 à Frouard avec Émile Rollin. Elle vends alors le café épicerie qu’elle tient rue de l’hôtel de ville à Frouard.
En 1913, le café Janot devenu café des voyageurs H. Staub subira peu de changements jusqu’au début de la guerre.
Henri Jean se marie avec Émelie Thiebaut (1894-1916) en janvier 1913 à Vandières.
Henri Staub est mobilisé comme canonnier au 44eme régiment d’artillerie. Il quitte le village et ne pourra pas y revenir avant 1919.
Il est décoré de la croix de guerre pour acte de bravoure.
Son établissement est entièrement détruit pendant la guerre. Il le fait reconstruire dans un style architectural très moderne.
Henri Jean se marie avec Émelie Thiebaut (1894-1916) en janvier 1913 à Vandières.
Henri Staub est mobilisé comme canonnier au 44eme régiment d’artillerie. Il quitte le village et ne pourra pas y revenir avant 1919.
Il est décoré de la croix de guerre pour acte de bravoure.
Son établissement est entièrement détruit pendant la guerre. Il le fait reconstruire dans un style architectural très moderne.
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Le café Staub en 1918 |
Henri Jean Staub (1889-1956), Clémence Mesme (1896-1979) avec qui il s’est marié en octobre 1919 à Paris reprennent l’exploitation du café hôtel restaurant jusqu’en mars 1933 date de leur divorce.Henri Staub se remarie en 1933 avec Marie Eugénie Velfringer avec qui il assure la tenue de son établissement jusqu’en 1939, date de leur divorce.Henri Staub continue son métier de restaurateur jusqu’à son décès en 1955.
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