L’est républicain du 29 juin 1909.
Incident dans le train.
Dimanche soir, le mécanicien du train 12–18 en station à la gare de Vandières, voulant remettre son train en marche, s’aperçu que ses freins restaient bloqués.
Après une minutieuse visite des wagons, il découvrit que l’un d’eux, un wagon allemand, avait son signal d’alarme tiré.
Le compartiment ouvert, M. Dussouillez, chef de gare, trouvait étendue sur la banquette une femme ayant perdu toute connaissance. Un voyageur qui s’est trouvé dans ce compartiment avait donné l’alarme.
M. Dussouillez prodigua à la malade les premiers soins et la ranima à l’aide de cordiaux qu’il était allé chercher chez lui.
La malade remise de son indisposition passagère, le train reprenait sa marche avec quelques minutes de retard seulement.
François Victor Dussouillez est né le 4 octobre 1858 à Mignovillard (Jura).
Il est employé à la compagnie de l’est à Vittel (Vosges) quand il se marie avec Elisabeth Philomène Olivier, le 1er septembre 1888 à Ney (Jura). La mariée est née le 15 février 1858 à Loulle (Jura).
Il exerce à Luneville avant de venir à Vandières vers 1908.
La famille habite à la gare.
Le couple a une seule fille, Eugènie Victorine née en 1893 à Is-sur-Tille (Côte d’Or).
Elle se marie avec Pierre Magnin, négociant, le 4 mars 1919 à Vandières.
En 1921, les deux familles habitent rue des fossés à Pont-à-Mousson.
François Victor meurt à son domicile le 9 février 1928 à l’âge de 69 ans.
Le couple a une seule fille, Eugènie Victorine née en 1893 à Is-sur-Tille (Côte d’Or).
Elle se marie avec Pierre Magnin, négociant, le 4 mars 1919 à Vandières.
En 1921, les deux familles habitent rue des fossés à Pont-à-Mousson.
François Victor meurt à son domicile le 9 février 1928 à l’âge de 69 ans.
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