20/12/2024

Vol de vin


 Le 22 juillet 1897, le progrès de l'est relatait un fait divers s'etant deroulé à Vandières.

"Au mois de décembre dernier, M. Blaise, propriétaire de vignobles à Vandières confiât a M. Janot, garde champêtre de cette commune, 22 mesures de vin pour le loger dans un foudre, la place lui faisant défaut.

Lorsque ces jours derniers, il voulut prendre livraison de son vin, il š'aperçut qu'il manquait environ 12 mesures sur les 22 qui avaient été emmagasinées dans la cave de M. Janot.

Récriminations de la part de M. Blaise. M. Janot jura ses grands dieux qu'il ignorait comment le vide š'était fait.Cependant, lorsque  la gendarmerie l'interrogeat, il se troubla, et pressé de questions, il finit par avouer qu'il en avait soutiré quelques mesures pour boire, qu'il s'offrit  du reste à rembourser à M. Blaise. Procès verbal a été néamoins dressé."

François  Pierre Janot, né en 1856 à Vandières, habite avec sa mère veuve depuis 10 ans, rue Saint Pierre et Raugraff au moment de son méfait.

Il est jugé au tribunal correctionnel de Nancy le 12 aout 1897.

"L'accusé, François Pierre Janot agé de 41 ans, fut jadis garde champêtre à Vandières. Sa conduite lui mérita  d'être révoqué. Il y a quelques temps, Janot reçut en dépôt de M. Blaise, une certaine quantité de vin. Notre ex garde ne se priva pas d'en boire et même  d'en vendre, jusqu'au jour le propriétaire š'aperçu de cette singulière disparition façon d'agir et porta plainte.

Deux mois de prison avec sursis."

Une mesure de vin est egale à environ 45 litres en Lorraine.
Un foudre contient entre 5000 et 30 000 litres de vin.
En 1888, Emile Simon Martin, instituteur de Vandières decrivait sa commune dans une monographie  à la demande du Ministère de l'Instruction Publique pour la préparation de l'exposition de l'enseignement primaire public à l'exposition universelle de 1889.
Il à estimé que la culture de vigne occupait 90 hectare pour une production de 3600 hectolitres de vin.



14/12/2024

Cérémonie au monument aux morts


 Je suis à la recherche de toute informations concernant cette photo, date et nom des personnes présentes.

08/12/2024

Une visite à l’exposition des travaux d’élèves de l’école des Beaux-Arts de Nancy


L'éclair de l'est du 6 juillet 1928
Une visite à l’exposition des travaux d’élèves de l’école des Beaux-Arts de Nancy
"L’exposition des travaux des élèves, en fin d’année scolaire, est d’un haut intérêt pédagogique. Elle offre un tableau de l’effort accompli, en même temps qu’elle manifeste et résume la méthode d’enseignement.
À notre école des Beaux-Arts, pendant l’année 1927-1928, le labeur fut très intense. L’abondance des devoirs exposés, des essais, des travaux collectifs, démontre très péremptoirement, qu’un beau zèle anime ces jeunes gens et ces jeunes filles, abordant la difficile et noble carrière de l’art.
Et la méthode qui régit l’école apparaît aussi. Méthode serrée, sévère pour les divisions élémentaires, mais qui s’élargit et laisse librement se dégager la personnalité de l’élève dès que la main et l’œil ont subit la stricte discipline nécessaire et possède une suffisante sûreté.
Visiblement, le directeur, M. Victor Prouvé, a l’amour du talent naissant, et le noble scrupule de ne pas contrarier l’orientation naturelle de ce talent. Il est convaincu, nous le sommes aussi, que l’esprit souffle où il veut. Il croit aux vocations d’art. Son enseignement nourrit, attise la flamme, mais la laisse palpiter et s’allonger au vent de l’inspiration personnelle. 
Il en est du champ de l’art comme de ceux qu’on laboure et sème sous le ciel. La moisson n’est pas toujours égale. Il y a parfois abondance et sur abondance, mais parfois aussi demi récolte et même disette. 
La visite que nous venons de faire aux Beaux-Arts nous convainc, en toute impartialité, que l’année sans être tout à fait riche, fut cependant belle et bonne. 
L’exposition de la section sculpture est d’une qualité magnifique. C’est l’avis unanime des visiteurs que j’ai rencontrés. Le professeur, M. Carl, qui est modeste, m’accusera d’exagérer. Mais je dis vrai.
Voici : prise à l’Alexandre de Diogène, composition de Puget, une tête de Diogène, qui est d’une exécution puissante. Un fragment du Milon de Crotone. Une figure d’enfant, sculptée dans la masse en bois. Une copie vraiment exquise en pierre d’un buste de terre cuite du XVIIIe siècle, dit buste de Gilbert. Voici enfin, je regrette de ne pouvoir tout citer, deux reproductions en pierre de deux chef-d’œuvre, l’un de l’antiquité, l’enfant à l’oie, l’autre du Moyen Âge, la vierge d’Amiens , reproduction ou se révèle un praticien remarquable et un artiste.
Ce praticien, cet artiste, est un homme de 29 ans. Il s’appellePinot. Voici son histoire.
Il y avait une fois, mais oui, c’est comme un conte de fées, à Vandières, un jeune cheminot qui, a temps perdu, modelait la glaise et taillait la pierre. Il modelait et taillait, sans autre maître que son instinct, à sa manière. Il se trouva que cette manière, toute frustre qu’elle fut, arrêta l’attention d’un prêtre, homme de goût et homme de cœur.
Pinot était timide et sans ambition. Le prêtre fut audacieux et ambitieux pour lui. Il le mena, tout droit, à notre école des Beaux-Arts. La direction qui, je l’ai dit, à l’amour des talents naissants, fut accueillante. Le prêtre s’en alla, confiant, à M. Carl, le modeste et heureux Pinot. 
Cinq années durant, Pinot fut observé, conseillé, jugé. M. Carl a le cœur chaud. Il prit en amitié son élève. Donc, sous le fer et bon regard du maître, devint un artiste. Il passa de la copie à l’original. Devant le modèle vivant, il se révéla portraitiste habile. On se souvient, à l’école, du buste de Melle B., exposé l’année dernière, œuvre pleine de fraîcheur. Pinot sait être, selon qu’il convient, gracieux ou fort.
Voilà donc un beau talent, lorrain, déjà, bien affirmé. Et ce talent est au service d’une pensée haute, noble, apte aux grandes émotions religieuses.
J’ai pensé qu’il convenait de signaler à MM. les prêtres et architectes, bâtisseurs d’églises , ce statuaire capable d’orner un temple des plus belles et des plus sincères sculptures. N’allons pas chercher toujours à Paris des statuts d’un art parfois médiocre. Nous là, tout près, l’homme qu’il faut."

Le Lorrain du 10 juillet 1926
"L’école municipale et régionale des Beaux-Arts de Nancy a fermé ses portes pour les vacances annuelles, et a ouvert son exposition de fin d’année scolaire.
Cette exposition est fort brillante et l’emporte de beaucoup, sur tout tout ce que nous avions vu au cours des années précédentes. 
Toutes les sections : dessins, peinture, sculpture, menuiserie, ferronnerie, broderie, arts décoratifs, ont montré des travaux intéressants, dont beaucoup dépassent la moyenne, et certains sont vraiment hors de pair.
Telles les œuvres remarquables de ce jeune et distingué sculpteur, Adrien Pinot, de Vandières, qui se révèle d’emblée un maître et un grand artiste lorrain.
Retenez bien ce nom: Adrien Pinot ! 
Avant quelques années, il fera parler de lui, et l’on peut dès maintenant dire sans crainte, un véritable artiste nous est né. Et qui plus est, un excellent artiste chrétien, qui saura rénover la sculpture et produire des chefs-d’œuvre, autres heureusement que les affreuses peinture à la Maurice Denis et tutti quanti, chapelle chaotique des prétendus réformateurs de l’art chrétien en style moderne. On les a assez vu à Paris, l’an passé, ces pseudos rénovateurs. 
Il y a peu de temps encore, Adrien Pinot était un des meilleurs employés des chemins de fer de l’Est. Le directeur zélé de nos cheminots catholique, le père Vigy, fut un jour mis en présence des maquettes et des essais du jeune Pinot, exécutes en ces moments perdus.
Mais il y a là un véritable artiste, dit l’ancien capitaine d’artillerie, qui a aujourd’hui le flair des belles et ardentes vocations religieuses et artistiques. Et il envoya son jeune cheminot à notre école des Beaux-Arts, où il a fait rapidement son chemin, émerveillant tous ses maîtres, et tous ceux qui visitent actuellement sa belle et si vivant, exposition, à la section de sculpture. La révélation de ce beau talent doit être une joie pour tous. Une grande espérance est là, et les diocèse de Nancy, Metz, Verdun, Saint-Dié, Strasbourg, vont avoir en Adrien Pinot un digne successeur et émule des Huel, père et fils, des Burtin, des Malherbe, des Bussières, qui ont peuplé, et peuplent encore nos églises d’ œuvres de style et de grand goût, dans la tradition liturgique et le culte de la vraie beauté."

Adrien obtient plusieurs prix en 1928:
1er prix au cours supérieur de modelage - section des beaux arts
1er prix de sculpture  - section des beaux metiers

Adrien Emile Pinot est né le 13 novembre 1898, avant-hier il est le sixième enfant du couple Édouard, Pinot , vigneron et Marie Eugénie Damois, son épouse. 
La famille habite rue Magot ( actuelle rue Saint Jean). 
A la déclaration de guerre, Adrien a 15 ans. Trop jeune pour prendre part au conflit, il reste à Vandières et se retrouve bloqué par l’occupant allemand. Trop jeune pour être soldat mais assez âgé pour etre une menace pour l'envahisseur. Cela lui vaut d’être envoyé en camp de prisonniers en Allemagne d’avril 1916 à septembre 1918. 


Peut-être a t’il rejoint son frère aîné, prisonnier à Holzminden (Basse Saxe) depuis décembre 1914. 

Prisonniers francais à Holzminden


Après ses études à l’école des beaux-arts, il se marie avec Jeanne Emelie Lhuillier, elle aussi née à Vandières. 
Le couple a trois enfants, nés à Vandières entre 1928 et 1932. Ils habitent route nationale.
Adrien devient veuf en 1978. Il meurt en 1982 à Longeville les Metz. 


Je suis à la recherche de toutes informations à son sujet, notamment sur ses œuvres et sa carrière de sculpteur. 



06/12/2024

Une voleuse

Gare et café de la marine (à droite de la gare)

 

L'espérance, courrier de Nancy du 28 aout 1883. 

Une femme M…. qui demeure à Vandières depuis quelques mois seulement, vient d’être arrêtée à la suite de plusieurs vols, commis dans cette localité.
Il y a quelques jours, madame Bouy, garde-barrière avant, s’ apercevait que cinq pièces de 20 Francs avaient disparu dans le tiroir de son bureau. Une seule personne, la femme M….. ayant pris un billet ce jour là, les soupçons planèrent sur elle.
Pressée de questions, la femme M…. finit par avouer qu’elle avait du dehors ouvert le grillage du guichet avec son doigt, et qu’en passant la main par l’ouverture, elle avait dérobé cette somme de 100 francs, qu’elle était aussitôt allée dépenser à Pont-à-Mousson.
En même temps, une autre personne de Vandières, monsieur Sébastien Single, tailleur d’habits, se plaignait que quelqu’un s’était introduit chez lui en son absence, en passant par la fenêtre, et qu’une pièce de 10 francs avait disparu.
La femme M….  a encore avoué que c’était elle qui avait commis ce vol. Elle donne comme excuse qu’elle avait besoin de cet argent et qu’elle comptait le rendre peu à peu.

Marie Antoinette Demef (1837-1918), épouse de Nicolas Félix Bouy (1830-1919), est preposée à la distribution des billets. Son mari est employé à la compagnie de l'est à la gare de Vandières.
Une fois à la retraite, le couple ouvre un débit de boissons à coté de la gare.
Ils le tiennent jusqu'en 1896,avant de le vendre à Pierre Grébil.

Quant à la femme M... il n'y a pas d'autres informations dans les journaux de l'époque.

29/11/2024

Dotation à l'école de Vandières


Le 22 avril 1884, le conseil général de la Meurthe et Moselle vote l'attribution aux écoles du département de la carte de France réalisée par M. Barbier.

Joseph Victor Barbier est né à Nancy le 3 mars 1840. 

Après des études pour le génie civil, il s'emploie à la vulgarisation de la géographie en créant la société de géographie de l'est.

Il publie le livre d'or de la géographie de l'est et développe la production de cartes à grande échelle pour l'enseignement.

Joseph Victor barbier


Joseph Victor Barbier, secrétaire général de la société géographique de l'est, officier de l'instruction publique  meurt le 7 septembre 1898 à l'hôpital civil rue de la prairie à Nancy à l'âge de 58 ans.





22/11/2024

Incendie et polémique


 Incendie à Vandières - Le messin du mercredi 9 septembre 1903. 

Samedi soir, vers 10 heures, un violent incendie s’est déclaré dans la maison d’habitation de Monsieur Méon, cultivateur. Le feu a pris naissance dans le séchoir à houblon . On suppose alors que la Touraille surchauffée à communiquer le feu dans les greniers. Les pompiers de Vandières, ceux de plusieurs localité, voisines, arrivèrent bientôt sur le lieu du sinistre. Malgré la promptitudes des secours, la maison, tout entière de vin bientôt, la proie des flammes, étant donné que les fourrage contenues dans les greniers, fournissez un aliment facile au fléau destructeur. Le feu gagna bientôt, la maison voisine, appartenant à Monsieur Rouyer. Il fallu songer à faire la part du feu. Les deux maisons Méon et Rouyer sont complètement détruites. Les dégâts sont importants et difficile à évaluer. Monsieur Rouyer, seul et assuré. Ce dernier est actuellement aux manœuvres qu’exécute le 20ème corps, où il a accompli une période de 28 jours.

Dominique Méon, vit rue de l'église depuis son mariage avec Marie Thérèse Durand en 1873.
Veuf depuis 1881, il élève sa fille unique Séraphine Eulalie.
Il meurt à son domicile en 1915.

Une polémique a fait suite à cet incendie. Édouard Pinot, sous lieutenant des sapeurs-pompiers de Vandières, fait paraitre un article dans l'est républicain du 15 septembre afin de rétablir la vérité.

À propos de l’incendie de Vandières

Vandières le 13 septembre 1903
Monsieur le rédacteur.
J’ai recours à votre publicité pour vous demander de bien vouloir reproduire une lettre que j’adresse à l’étoile de l’Est en réponse à des imputations erronées relatives à l’incendie de Vandières et paru dans ce journal. Voici cette lettre:
Une polémique est ouverte dans votre journal au sujet de l’incendie de Vandières. Elle est provoquée par des personnes qui paraissent intéressées à détourner les responsabilités, à flétrir la conduite des sapeurs-pompiers, de leurs chefs et même de la population de Vandières. Il est facile de reconnaître ces malveillants. Ces gens de mauvaise foi prétendent que le feu a pris naissance chez Chapelier et Rouyer, que la toiture s’est effondrée avant celle de la maison Méon. C’est inexact. 
Comment se fait-il que le caporal Darmois de Vandières, conduisant le jet sur le foyer était juché sur le toit de Chapelier pour arroser la maison Méon. C’est donc qu’il avait déjà de la place à travers la toiture pour diriger son jet sur le foyer. Ensuite, si le feu avait pris naissance chez ce dernier, est-ce qu’il aurait épargné le logement de chapelier qui touchait au foin de Rouyer, et que nous avons sauvé en partie seulement après avoir protégé les pignons voisins ?
Enfin, une rumeur se répand dans le village, d’après laquelle il paraîtrait que Méon, aidé de son locataire, aurait fait plusieurs voyage d’eau pour étouffer le commencement d’incendie, et que, n’ayant pu y parvenir, il aurait seulement appelé du secours.
Votre article dit que l’on manquait d’eau, et que si tout le monde avait marché comme les pompiers de Pagny et de Villers sous Prény, le mal n’aurait pas été si grand. C’est ici que la mauvaise foi se montre. 
Le lieutenant des pompiers de Vandières avait fait couler toute l’eau des fontaines aussitôt le sinistre. Il avait fait lâcher progressivement la vanne du moulin, qui avait retenu l’eau du ruisseau de Trey. Donc il ne manquait pas d’eau. Ce qui manquait, c’était des bras, car il fallait faire deux chaînes assez longues. Si tout le monde avait fait comme vos audacieux correspondant de Vandières qui, malgré les exhortations personnelles du lieutenant de pompiers, restaient comme la femme de Loth, le village serait détruit. Ils font tout de même l’éloge du sergent Mall et du sapeur Meunier, c’est la seule vérité de leur article, mais nous voyons que ces deux pompiers étaient accompagnés car il dit que les pertes pour la maison Chapelier Rouyer qui, selon eux, a pris feu la première, ne s’élève qu’à 2000 Fr. C’est justement là où les pompiers de Vandières étaient postés, ils ont donc travaillé aussi bien que les autres, puisque Méon aurait des dégâts pour 6000 Fr., et il était sauvegardé par deux pompes. Jugez. 
Donc, le feu a pris naissance chez Méon et s’est communiqué chez Chapelier Rouyer. Quant aux pompiers de Pagny sur Moselle et de Villers sous Prény, à qui nous avions demandé du secours et qui se sont empressés de venir nous prêter leur concours, au nom de la population de Vandières, dont je me fais l’interprète, je les félicite et les remercie mille fois. Tous, dans un même sentiment de courage et d’abnégation, nous avons fait notre devoir. 
Honneur aux soldats du feu. 
Veuillez, agréer, etc. etc. 
Édouard Pinot, sous lieutenant des sapeurs-pompiers de Vandières.

09/11/2024

Jean Camille Pinot prisonnier de guerre

 


Ayant trouvé cette carte photo dans un vieux carton, j'ai cherché a en savoir plus concernant l'expediteur.
Au dos se trouvent quelques informations importante.
elle est daté du 2 novembre 1941, elle est adressée à M. et Me Gustave Pinot à Vandières Meurthe et Moselle en France.
L'expediteur est Jean Pinot 14232 - XII B -  K2123.

Jean Pinot est donc prisonnier de guerre sous le numero 14232 au stalag 12 B dans le kommando 2123.

Le stalag 12 B se trouve à Frankhental en  Rhénanie-Palatinat.


Je n'ai pas d'autres informations au sujet de la vie militaire de Jean. Les livrets militaire pour sa classe ne sont pas encore en ligne et il n'apparait pas dans les listes de prisonniers de la deuxième guerre mondiale.

J'ai toutes les informations généalogiques de cette famille Pinot de Vandières. (250 Pinot à Vandières dans mon arbre généalogique)
 
Francois Gustave PINOT  né le 10 février 1870 à Vandières,  est décédé le 15 mars 1939 à Vandières à l'âge de 69 ans .  
Il est le fils légitime de  Jean Nicolas PINOT  (1833-1886) , âgé de 36 ans ,  et  de  Marie Angelique DARMOIS  (1835-1909) , âgée de 34 ans .  
Il  se marie  avec  Emelie BLAISE  (1870-1954) ,  fille de  Joseph BLAISE  (1823-1879)  et  de  Catherine LHUILLIER  (1831-1908)   le 19 janvier 1897 à Vandières (Meurthe-et-Moselle) .
 Ils ont tous deux 26 ans à la date de leur mariage.  
 Francois Gustave et Emelie ont 4 enfants : 
  •  Marie Alice PINOT ,  née le 21 décembre 1897 à Vandières (Meurthe-et-Moselle) ,  décédée le 28 avril 1978 à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle) , à l'âge de 80 ans .  Elle a un enfant : André. 
  •  Marie Marguerite PINOT ,  née le 7 janvier 1899 à Vandières (Meurthe-et-Moselle) ,  décédée le 3 avril 1964 dans la même localité , à l'âge de 65 ans .  Elle s'unit avec  Joseph Emile FAYON   le 10 février 1920 à Vandières (Meurthe-et-Moselle) .  Elle a 2 enfants : Marie Eugénie Valérie et Renée Marie Rosalie. 
  • Marie Jeanne Valerie PINOT ,  née le 13 février 1901 à Vandières (Meurthe-et-Moselle) ,  décédée le 21 mars 1916 dans la même localité , à l'âge de 15 ans. (victime de la 1ère guerre mondiale)
  • Jean Camille PINOT ,  né le 11 janvier 1908 à Vandières (Meurthe-et-Moselle) ,  décédé le 25 septembre 1997 à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle) , à l'âge de 89 ans .   
 Jean Camille a du etre fait prisonnier en juin 1940, comme la plupart des autres soldats francais.
Si jamais quelqu'un avait plus d'information sur lui je suis preneur, ne serais ce que l'identifier sur la photographie.

Maison de la famille de Gustave Pinot