Sommaire du numéro 178 qui va bientôt paraître
Dans ce numéro je vous detaille la généalogie de la famille Honorat de Vandières.
Vous verrez que l'histoire de cette famille est peu courante alors bonne lecture
Dans ce numéro je vous detaille la généalogie de la famille Honorat de Vandières.
Vous verrez que l'histoire de cette famille est peu courante alors bonne lecture
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Le café Janot vers 1900 |
En 1850, Nicolas Hatrisse (1803-1884) et sa femme Marguerite Louis (1809-1860) sont cabaretiers à Vandières sans plus de précision concernant la rue, mais il s’agit très probablement de la rue de Pont à Mousson à côté du pont sur le Trey.
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Le café Staub en 1918 |
Henri Jean Staub (1889-1956), Clémence Mesme (1896-1979) avec qui il s’est marié en octobre 1919 à Paris reprennent l’exploitation du café hôtel restaurant jusqu’en mars 1933 date de leur divorce.Henri Staub se remarie en 1933 avec Marie Eugénie Velfringer avec qui il assure la tenue de son établissement jusqu’en 1939, date de leur divorce.Henri Staub continue son métier de restaurateur jusqu’à son décès en 1955.
Vendredi 17 juillet, pendant un violent orage, une véritable trombes d’eau qui n’a pas duré moins de trois heures, s’est abattue sur Vandières et les environs. Le village a été complètement inondé, les eaux ont envahi les caves de l’école et de plusieurs maisons du quartier.
Les orges, les avoine et les pommes de terre ont beaucoup souffert. Les terres du vignoble ont été entraînées avec les pieds de vigne.
Des murs ont été renversés.
Les dégâts sont évalué à 70 000 fr. environ pour la commune de Vandières et à 50 000 fr. pour celle de Villers sous Prény.
Francois Durand à coté de sa maison rue Saint Jean |
"Au mois de décembre dernier, M. Blaise, propriétaire de vignobles à Vandières confiât a M. Janot, garde champêtre de cette commune, 22 mesures de vin pour le loger dans un foudre, la place lui faisant défaut.
Lorsque ces jours derniers, il voulut prendre livraison de son vin, il š'aperçut qu'il manquait environ 12 mesures sur les 22 qui avaient été emmagasinées dans la cave de M. Janot.
Récriminations de la part de M. Blaise. M. Janot jura ses grands dieux qu'il ignorait comment le vide š'était fait.Cependant, lorsque la gendarmerie l'interrogeat, il se troubla, et pressé de questions, il finit par avouer qu'il en avait soutiré quelques mesures pour boire, qu'il s'offrit du reste à rembourser à M. Blaise. Procès verbal a été néamoins dressé."
François Pierre Janot, né en 1856 à Vandières, habite avec sa mère veuve depuis 10 ans, rue Saint Pierre et Raugraff au moment de son méfait.
Il est jugé au tribunal correctionnel de Nancy le 12 aout 1897.
"L'accusé, François Pierre Janot agé de 41 ans, fut jadis garde champêtre à Vandières. Sa conduite lui mérita d'être révoqué. Il y a quelques temps, Janot reçut en dépôt de M. Blaise, une certaine quantité de vin. Notre ex garde ne se priva pas d'en boire et même d'en vendre, jusqu'au jour le propriétaire š'aperçu de cette singulière disparition façon d'agir et porta plainte.
Deux mois de prison avec sursis."